Le poète est si sublimé par la vérité,
En son cœur l’émotion première se fait encore évidence,
Se doit-il de décrire les beautés de l’existence,
Il se fait ami de la patience,
Pose le temps en son présent,
Est-il si libre de vivre son allégresse,
Une noble sagesse lui procure les plus beaux mots,
Il aime et ne s’en étonne,
Sait-il l’amour au cœur de toute chose,
De tout élément de l’œuvre de vie,
Le poète ne serait que traducteur des messages tout droit venus de la source divine,
De notre éminente origine.