Or, partout en Occident, les hommes politiques semblent obéir à des minorités extrêmement virulentes. Elles ont à la fois pour caractéristique de souffrir, et d’avoir une interprétation erronée des remèdes à leurs maux.
N’aurait-on pas besoin de se rappeler des idées de Condorcet ? Mais comment apporter l’éducation nécessaire à une population ?, me suis-je demandé. Est-ce possible ? Voici, au moins, trois idées :
- Les décisions se prennent en groupe. Il faut viser avant tout à augmenter le QI du groupe. Voilà qui peut résoudre la question que posent les différences d’aptitudes des hommes vis-à-vis des questions de raison.
- L’école peut entraîner l’individu au raisonnement.
- Les éléments de décision concernant les problèmes critiques pour la société, qui évoluent sans cesse, doivent être traduits d’une façon qu’ils soient compréhensibles par tous, ou par le très grand nombre (cf. point 1). De façon à ce que nous puissions juger, comme des jurés dans un procès.