Le poète y évoque son sujet de prédilection : sa ville, ses cafés et tous ses lieux de vie sociale et culturelle. L'idée de départ est de reprendre la vieille légende portègne qui voudrait qu'un ange ait fondé la capitale argentine (2) et que depuis lors, des anges vivraient incognito parmi les habitants. Or les anges sont aussi en espagnol une métaphore pour parler du charme qui se dégage d'un objet, d'un endroit ou d'une personne.
La table-ronde sera animée par Marta Pizzo et l'ensemble de la soirée sera coordonné par Alejandro Martino.
Un mini-spectacle conclura la présentation, avec plusieurs chanteurs, Ernesto Bo Martínez, Julián Manoukian et Carlos Varela, le pianiste Hugo Javier Menzietti et le groupe Dimensión Tito.
Pour en savoir plus : consultez le blog du poète (je vous renvoie ici à la toute première mention de ce recueil en mai 2012). consultez la fiche de l'auteur sur le site Internet de la maison d'édition.
(1) Héctor Negro est présent dans mes deux anthologies bilingues de tangos argentins : pour une chanson dans Barrio de Tango (Editions du Jasmin) et pour une dizaine d'œuvres en vers et en prose dans Deux cents ans après (Tarabuste Editions). Voir ces ouvrages dans la partie haute de la Colonne de droite. (2) L'Archange Saint Michel est effectivement l'un des saints patrons de Buenos Aires depuis sa fondation. Les deux autres sont deux Vierges, celle de Cagliari en Sardaigne, Notre Dame des Bons Vents (Madona de Bonaria), et Notre Dame des Neiges (la sainte patronne des Romains, celle que l'on vénère à Santa Maria Maggiore).