The secret origin of Felicity Smoak
Saison 3, Episode 5
Diffusion vo: The CW – 5 novembre 2014
Une attaque d’un super virus met Starling City en danger. Seule Felicity peut sauver la ville…
Cet épisode met la famille au coeur de cet épisode. Il faut être proches de ses proches et les accepter tels qu’ils sont, qu’ils abusent de l’argent de Malcolm, qu’ils refusent de dire le secret qui les ronge ou qu’ils aient une mère bimbo.
On a donc Thea qui fait le strict minimum dans cet épisode, expliquant à Oliver qu’elle se paye un super méga grand appart avec le fric de Malcolm qu’elle fait passer pour un héritage. Mais apparament, « l’héritage » n’était pas assez grand pour s’acheter aussi des meubles à part un canapé et un super méga écran large. Du coup, voilà Oliver qui squatte chez elle après lui avoir fait la morale. Et elle est contente. Pas de la morale mais de mater un film avec son frangin. Sauf que ça déplait à papounet Malcolm. Mais ça, elle ne le sait pas encore. Tadadaaaa ! Elle devrait quand même se méfier de la jalousie de papounet parce que bon, l’entrainement au sabre … Un accident est si vite arrivé.
De son coté, Laurel ne progresse pas. Elle tape dans son sac de boxe, ne dit toujours rien à son père et voilà. En plus, elle prend de mauvaises décisions dès qu’on lui file du pouvoir. Allez zou, les forces spéciales contre 20 personnes voulant retirer leur argent à la banque. Super. Au moins, on apprend qu’il n’y a qu’une seule banque à Starling City à priori, vu qu’il n’y a qu’une seule banque à aller protéger. Ou alors les clients des autres banques s’en foutent de perdre leurs économies. Qui sait ?
Et donc on passe à Felicity. Elle a une mère, une mère bimbo. Et c’était excellent. Charlotte Ross joue parfaitement ce rôle et ces interactions avec les autres personnages sont très bonnes. C’est le meilleur parce que le reste, les fameuses origines secretes de Felicity sont décevantes. Archi clichées et très prévisibles, l’épisode peine à maintenir un rythme haletant. Il faut dire que c’est peu évident pour une série d’action d’avoir comme ennemi un virus. Dur de lui planter des flèches dans le corps.
Bref, le problème vient surtout que tout se voit venir de loin. Qui a cru un seul instant que l’ex boyfriend n’était pasl e coupable ? De toute façon, c’était soit lui, soit le coloc de fac. Et comme le coloc était vite viré des possibilités, il ne restait que l’ex. Et son excuse de la mort était bidon. Oui, c’est ça, on y croit. … Oh, il n’était pas mort en fait ! what a surprise !
De même, j’ai grandement peiné avec le passé de « hacktiviste » de Felicity. Non pas que je ne l’imagine pas en rebelle mais c’est son look ultra cliché, jusqu’au piercing nasal. C’est le look rebelle de la télévision quoi. Il y a 10 ans déjà, Jewel Staite abordait exactement le même look dans un épisode de Dead Like Me alors qu’elle était vendeuse d’une boutique de disques rock. A chaque flashback, je ne pouvais m’empécher de pouffer de rire devant ce look.
Et puis pouf, le cliffhanger sorti de nulle part débarque avec un rêve de Roy qui se voit balancer des flèches dans le corps de Sara. Des flèches … à la main. What the f…
Mon impression :
J’espèrais du fun avec cet épisode centré sur Felicity mais hormis sa mère, les deux scénaristes ne se sont pas foulés et ont appliqué à la lettre tous les clichés de ce type d’histoire. C’était peu passionant au final.