Après une semaine de silence, voilà donc un retour en fanfare de ma sélection ciné avec un verbe en bandoulière, le verbe " oser".
Bah oui, il faut oser quand même le jour de la sortie d'un des films le plus attendus de l'année (du mois si je me fie à l'opinion des blogueurs ciné que je suis sur twitter), à savoir le Interstellar de Christopher Nolan, ne pas le mettre dans ma sélection ciné de la semaine, et y mettre à la place un film de guerre britannique peu connu ainsi qu'un film sur Pablo Escobar...
Par contre, mettre du Ozon dans ma sélection n'a rien de très osé par rapport à mon lien indéfectible avec ce cinéma là :
1.Une nouvelle amie :
Le pitch :
À la suite du décès de sa meilleure amie, Claire fait une profonde dépression, mais une découverte surprenante au sujet du mari de son amie va lui redonner goût à la vie.
Pourquoi je veux y aller :
- parce que j'aime le cinéma d'Ozon, et notamment "Dans la maison", mon film préféré de 2012, et que forcément je suis fidèle à ses crus annuels, et que cette adaptation de la nouvelle "Une amie qui vous veut du bien" de Ruth Rendell, semble être aux yeux de pas mal d'observateurs comme l’une des plus belles pièces de sa filmographie.
- parce que le film permet de retrouver toutes les thématiques de marginalité et de trouble identitaire;
- parce que le casting fait sacrément envie sur le papier avec un Romain Duris dans un rôle taillé pour sa subtilité de jeu et mon actrice française préférée du moment, Anaïs Demoustier dans une confrontation
2.71 '
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Le pitch : Belfast, 1971. Tandis que le conflit dégénère en guerre civile, Gary, jeune recrue anglaise, est envoyé sur le front. La ville est dans une situation confuse, divisée entre protestants et catholiques. Lors d’une patrouille dans un quartier en résistance, son unité est prise en embuscade. Pourquoi je veux y aller : - car 71 est un film qui a beaucoup attiré l'attention lors des différents festivals dans lesquels il a été projeté, que ce soient à la Berlinale, à Beaune ou encore au Festival du Film britannique de Dinard (Prix du Public Première au festival de Dinard), où le film a été primé et où les applaudissements ont accompagné longuement le générique. - car le film est un thriller qui utilise l'histoire immédiate comme carburant de fiction , un peu comme Shadow Dancer, de James Marsh déjà sur le conflit irlandais, mais aussi dans deux films récents évoquant l'occupation israélienne de la Cisjordanie, Omar, de Hany Abu Asad et Bethléem, de Yuval Adler, '71 est un actioner tendu mais aussi un thriller en demi-teinte sur le conflit Irlandais. Une grosse baffe de cinéma très bien pensée. 71 Bande Annonce VF (2014) 3. Paradise Lost :
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