Mais, alors, qu’est-ce qui ne va pas ? C’est que nos politiques font n’importe quoi. Guerre au Mali, tout TGV, Grand Paris, dépenses somptuaires des collectivités locales…
L’origine de tout cela ne viendrait-il pas d’un changement de paradigme ? Le génie s'est échappé de la bouteille ? Pour les Lumières, le peuple c’était le bien. La politique, pour les Athéniens, c’était le citoyen qui décide de son sort. Aujourd’hui, ses élus se sont affranchis du peuple qu'ils sont supposés représenter. Ils le croient porteur du mal. D’où deux attitudes :
- Faire le bien contre sa volonté. Série de croisades de gauche : abolition de la peine de mort, 35h, mariage pour tous. Et leurs équivalents de droite.
- Faire le mal pour séduire le peuple. C’est le populisme. Aussi de tous bords.