Il paraîtrait...

mardi 28 octobre 2014

- que si vous êtes petit ou maigrelet, il est possible qu’on vous ait embêté avec ça, il est possible que vous ayez mis des années à vous y faire, et il est aussi tout à fait possible que ça ne vous ait jamais posé de problème. Mais, revanche sur la vie ou non, ça sera une paire de qualités quand sonnera l’heure. Vous savez, cette heure que personne n’a tellement envie de voir venir, la dernière. Car les monuments funéraires datant de l’époque napoléonienne ne sont plus adaptés à nos gabarits. Et ça pose problème. Quand c’est faisable, les fossoyeurs cassent les bords de la sépulture pour faire passer le cercueil. Mais parfois, la famille n’a pas d’autre choix que d’acheter une nouvelle concession. L’incinération alors ? Les crématoriums n’acceptent pas tous les cercueils, ceux qui sont plus lourds et plus larges que la moyenne, au-dessus de 140 kilos, ou de plus de 85 cm de large. Solution : la découpe ! Scies à boucher, couteaux désosseurs, couperets et feuilles, les sites de ventes en ligne de matériel de boucherie vont faire fureur. Faut-il laisser l’avenir à Dieu pour avoir l’avenir radieux ou prendre la main qu’on mettra à la pâte ?
- qu’un élu du Front national de Seine-Saint-Denis, récemment converti à l’islam, a été suspendu par son parti qui lui reproche d’avoir fait du prosélytisme en envoyant une vidéo à d'autres cadres frontistes dans laquelle il expliquait son choix. Le parti explique, citons, citons, que ce n’est pas sa religion qui est en question mais qu’il a fait ouvertement du prosélytisme en envoyant une vidéo qui vantait l’islam. Jouons les imbéciles, jouons. Reprenons la définition de prosélytisme : zèle ardent pour recruter des adeptes, pour tenter d'imposer ses idées. Continuons sur notre chemin. Puisque le FN fait cela tous les jours, le zèle pour recruter, proposons une auto-exclusion, une dissolution immédiate et définitive du parti. Et hop. Faut-il laisser l’avenir à Dieu pour avoir l’avenir radieux ou prendre la main qu’on mettra à la pâte ?
- que le tribunal de commerce de Paris a donné son feu vert à l’offre de reprise du fabricant de chariots de supermarché Caddie, en liquidation judiciaire, présentée par son ancien directeur général, Stéphane Dedieu. Qu’a dit Dedieu pour que l’offre Caddie Dedieu soit approuvée ? Qu’on ne peut pas mettre des caddies à la rue ? Pourtant, sous les marrons, sur les pavés, ce sont bien des caddies qu’on aperçoit pour qu’ils soient chauds, les marrons, chauds, les marrons. Ils font même parfois, les caddies, office de charrette valise caravane carriole remorque pour des SDF qui y transportent leur vie entière. Les caddies Dedieu sous les mains des miséreux, on dirait du Hugo ou du Zola...et ce n’est que la triste réalité. Faut-il laisser l’avenir à Dieu pour avoir l’avenir radieux ou prendre la main qu’on mettra à la pâte ?