Auteur : Yôko Ogawa
Traduit du japonais par Rose-Marie Makino-Fayolle
Édition : Actes Sud
Résumé de quatrième de couverture : Il est le seul à pouvoir apprendre la langue pawpaw afin de communiquer avec son frère aîné, cet enfant rêveur qui ne parle que le langage des oiseaux, n'emploie que ces mots flûtés oubliés depuis longtemps par les humains.
Après la mort de leur parents, les deux hommes demeurent ensemble dans la maison familiale. D'une gentillesse extrême, l'aîné, qui ne travaille pas, se poste chaque jour contre le grillage de la volière de l'école maternelle. Peu à peu, la directrice remarque son calme rassurant pour les oiseaux, sa façon subtile de les interpeler, et lui confie l'entretien de la cage.
Quand au cadet, régisseur de l'ancienne résidence secondaire d'un riche propriétaire du pays, le jardin de roses, les boiseries des salons, la transparence des baies vitrées sont à la mesure de son attachement pour les lieux de mémoire.
Parfois, les deux frères décident de " partir en voyage " . Valises en main,ils font halte devant la volière. ravis de palabrer avec les moineaux de Java, les bengalis ou les canaris citron, ils oublient dans l'instant tout projet de départ. Un jour pourtant le calme du quartier semble en danger, une enfant de l'école disparaît.
Mon avis : À venir.
Un peu de bois et d'acier Vinland Saga Le Grand mort