Ed. du Cerf (1992)
Le Petit Prince d’Antoine Saint-Exupéry, traduit dans 270 langues, enregistre une vente de 145 millions d’exemplaires. C’est le livre le plus vendu au monde après la Bible.
Le titre attirant, mon goût de la psychologie et le Petit Prince, conte inoubliable, m’a donné envie d’en savoir plus.
Dès le premier chapitre, intitulé le Message, la lecture de cet essai qui se veut un éclairage biographique au 3e degré de Saint-Exupéry, est loin d’être facile car l’auteur, psychothérapeute, philosophe, théologien, nous assène de références savantes. Ce n’est pas un livre à emporter en vacances, aïe, aïe, aïe. J’ai tenu, en relisant certains passages plusieurs fois…
Et fort heureusement !
Arrivée au deuxième chapitre, intitulé Questions et Analyses, c’est le CHOC avec la révélation du secret de la rose qui nous fait découvrir l’arrière-pays mental de l’aviateur, dont l’œuvre littéraire continue de marquer des générations.
Le démêlement des fils de l’œuvre de Saint-Exupéry mène le lecteur à une réflexion sur l’existence, les relations enfants/parents (jamais parfaites, ne l’oublions pas), la puissance de la nature.
« Une lumière dans la nuit » renversante !
mjo