- Premier groupe: une réduction calorique quotidienne de 500 kcal et des aliments à index glycémique élevé
- Second groupe: la même réduction calorique, mais avec des aliments à index bas
- Dernier groupe ou contrôle: aucun conseil particulier.
Chacun des groupes, par ailleurs, recevait des pommes de terre et des recettes équilibrées et comme consigne, de consommer 5 à 7 portions de pomme de terre par semaine.
Les résultats ne montrent aucune différence significative entre les groupes: les volontaires ont tous affiché une perte modeste de poids corporel, malgré la présence de pommes de terre et quel que soit le régime prescrit.
Pour les auteurs, cette étude n’entame donc pas la réputation de la pomme de terre, mais elle montre aussi la complexité d’un régime basé sur l’index glycémique sans l’assistance suivie d’un professionnel, ce qui peut notamment expliquer l’absence de différences entre les groupes.
Référence : Randolph J.M. et al., Journal of the American College of Nutrition, 10/10/2014Source : Food in action, Nicolas Rousseau, diététicien-nutritionniste
- Obésité de l’enfant
- Troubles du comportement alimentaire
Pour cela, vous devez être inscritet vous identifier