Aujourd’hui, c’est cadeau.
Après quelques heures dormies et le 5ème samedi consécutif travaillé, j’avais envie de vous écrire un petit quelque chose léger sur ce film léger qui a le mérite de vous faire du bien.
Bah oui, je vous entends déjà « rho, quand même, c’set facile hein, elle est pas toute seule à bosser le week-end, l’excuse, quoi… ». Vous avez surement raison…
Attention, handicapés du coeur et des sentiments, fuyez. Ce film est un pur moment de « glucose » dont il est difficile de se décoller une fois pris au piège.
Pour les autres, prenez un moment après une mauvaise journée, vous savez de celles qui vous font vous demander si ce sera encore comme ça jusqu’à votre retraite.
Vous y êtes ? Bien. Plus d’excuse possible.
Installez vous confortablement dans votre canapé et profitez. Oui, vous verrez, ce film aborde en majorité les bons côtés du couple, de la famille et de la vie. Mais si la fiction ne peut pas faire ça pour nous, ce serait dommage et triste. En plus, l’histoire est originale et on se laisse très facilement prendre au jeu de la fiction.
Car oui, Tim apprend par son père que tous les garçons de la famille peuvent retourner dans le temps. Agé de 21 ans, ils peuvent enfin connaitre le secret et tenter de se démerder avec ce pouvoir de prime abord, génial mais qui peut s’avérer un peu contraignant. Il n’y croit pas et pourtant il va connaitre des expériences à peine possibles…
Un très bon moment passé grâce à l’humour anglais, des acteurs ordinaires mais authentiques. Un long-métrage qui satisfait les besoins refoulés de simplicité et de foi en l’humain (ne mentez pas, ça nous arrive à tous!).
Bref, laissez-vous aller et n’écoutez pas les détracteurs, parfois, ça fait du bien.
Il était temps, Richard Curtis avec Rachel MacAdams et Domhnall Gleeson (entre autres), 2013