« Dans un contexte de fortes tensions sur les budgets publics, de confiance dégradée envers les décideurs publics et les acteurs économiques, il est aujourd’hui essentiel de clarifier les relations entre décideurs publics et représentants d’intérêts dans l’ensemble des lieux où se forgent les décisions publiques »
La France fait figure de mauvais élève dans tous les domaines, tant en termes de traçabilité des décisions publiques que d’intégrité et d’équité d’accès des différents représentants d’intérêts aux décideurs.
L’organisation décrit également le lobbying intensif mené dès la campagne présidentielle de 2012 auprès de l’entourage de François Hollande après le discours du Bourget, dans lequel il avait dénoncé dans la finance son principal adversaire.
Il s’agissait alors notamment de le convaincre de renoncer à remettre en cause le modèle des « banques universelles », au motif que la séparation des activités bancaires et de marché nuirait à la compétitivité des banques et à la souveraineté de la France.(source)