Madame Aubry, comme encore trop de politiciens, en particulier, raisonne encore la société avec un archaïsme ahurissant.
Elle en est encore à considérer la situation actuelle comme une crise dont il faudrait sortir en dépensant toujours plus.
La situation durant, elle devient endémique et doit donc être vécue comme telle. La croissance est antinomique avec les contraintes environnementales, et l’évolution technologique promet toujours plus de confort, avec toujours moins de moyens, de matériel et d’énergie.
Il faut donc envisager une société où le développement ne rimera plus avec croissance, et donc avec dépenses.
Il faut aussi envisager une société où la natalité ne sera plus un moteur, mais un frein, et donc sortir de la politique nataliste.
Un Nouveau Monde à penser avec de nouvelles personnes. Il est urgent de renouveler le personnel politique.