Décidément , à peine revenu sur mon blog après une journée d’absence, et c’est le grand bordel dans le monde comme il va. Figurez vous qu’un professeur en psychiatrie et en épidémiologie à l’université londonienne Queen Mary a trouvé une solution inédite pour lutter contre Daesh : « La radicalisation djihadiste ne doit pas être criminalisée mais soignée, comme l’alcoolisme« . Bien bien bien…. A quand des cercles de djihadistes anonymes pour évoquer leurs décapitations compulsives et leurs viols et leur pillages en cercles de parole ? Voilà qui va pour sûr arrêter les massacres et autres exactions de des êtres sans foi ni loi.