Emmanuel Macron n’a pas travaillé chez Roth’s child (l’enfant de Roth) pour rien ! Il aima Roth et son argent et finit par dédaigner le pauvre, l’indigène indigent , pour lequel fait peu de cas Roth. Oui, à fréquenter les riches et l’argent élargi à l’orgie de l’or joie, notre nouveau Ministre de l’Economie a bien du mal à trouver dans l’impécunieux une marque d’estime. Dernièrement, parmi les mesures détaillées, sortant de son tailleur, à l'occasion de la présentation de son projet de loi pour «libérer l'activité», Emmanuel a raillé les manuels en annonçant vouloir multiplier les lignes d'autocars à travers le pays. Une mesure à destination des plus «pauvres», a-t-il prononcé ! En septembre il avait traité d’illettrées » les ouvrières de l’abattoir Gad de Josselin (Morbihan), lesquelles s’étaient demandé si c’était du lard ou du cochon en goret encore… Leur moral avec été détruit (avait tété des truies ?) en se sachant considérées comme incultes et une sueur de honte s’était écoulée de leurs pores sains ! Il a donc récidivé en stigmatisant de par son inconscient révélateur une engeance paupérisée ! Emmanuel pense que « les pauvres qui ne peuvent pas voyager pourront voyager plus facilement». Oui, comme le confirmerait Tapie, le car pète la santé et les gaz d’échappement pour relancer l’économie et permettre la création d’emplois de chauffeurs ! Des chauffeurs qui diminueront le froid du Pôle-Emploi dans la calotte glaciaire s’étend de manière inuit… Et Mr Macron de renchérir : «À l'heure actuelle beaucoup de Français sont trop pauvres pour prendre le train qui est trop cher. Le transport en autocar est 8 à 10 fois moins cher que le train. Cette mesure de libéralisation du transport en autocar va bénéficier aux familles les plus modestes, les plus précaires, les plus fragiles», a ajouté le ministre. Pourrais-je préciser à mon cher Ministre (très cher Ministre) que s’il n’est pas illettré n’en est pas moins fâché avec le verbe bénéficier, verbe transitif indirect ! Il aurait dû dire : « les plus modestes bénéficieront de cette mesure » ! En matière de syntaxe notre Ministre est au car ! Mais, bon ! Passons ! Et revenons au car comme vecteur de croissance ! Relancer le car naît de Kommend, c’est-à-dire le prochain en germanique (l’Allemand qui te tond en t’acculant à trouver des idées de relance) ! Oui, le car, habit niais de nos déplacements, pourrait devenir manteau d’hermine de nos migrations hexagonales, un car nation ! Le car naval pourrait investir nos merveilleuses voies fluviales de grand gabarit (l’éléphant aussi d’ailleurs) car il serait vain (danger) d’user d’un bas canal ! Le car à bain pourrait opérer en mer hospitalière ; doté de restaurants il pourrait proposer des mets d’œufs sains et se targuer qu’un plat c’est beau dès qu’il est dégusté sur les vagues (si nation en veut). Le car tonnage serait réservé aux personnes fâchées avec leur surplus qui pond des râles et qui aimeraient cartonner en perdant l’obésité ! Ce car dit « hauts grammes » aurait comme vocation de faire fondre les plaques d’athérome pour ceux qui consomment dattes et rhum sans mots des rations. En leur demandant de pédaler, pour faire tourner l’aube, hésiter ne serait plus de mise… Le car-hibou déjà adapté aux voyages nocturnes (sert à passe) sera de plus en plus chouette dans son design. Il pourrait faire la tournée des grands ducs en commençant par la ligne Hulluch-Le Mans. Le car-l’heure serait, comme son nom l’indique, disponible toutes les 60 minutes, bon gré mal gré, sans l’écart laid d’une SNCF poussive qui pousse Yves, mon ami, à la dénigrer ! Le car âme-Elysée, d’inspiration hollandesque, desservira mollement le centre de Paris en collant au Palais d’un certain Flamby ! Le semi-car transportera des travailleurs payés au minimum, voire au quart par des tiers patrons peu généreux et qui sur le car tablent pour limiter les frais de déplacement de leurs employés ! - Avec des tickets modérateurs, dit un boss, mes coûts-trajet ne me feront plus mec outragé ! Mon ouvrier qui pestait contre le rail s’assagira : on verra le bus taire qui tonne ! Mais il ne faudrait pas que le car devienne uniquement l’instrument du pauvre. Le car quand ? Quand on veillera à ne pas le rendre outil de stigmatisation ! Alors il faudra que tu agisses, Car !
Oui, car il ne faudrait pas qu’après les « Caries dentaires », nous nous trouvassions face au « car identitaire »…