Les mollets qui chauffent, le souffle qui manque, les cuisses qui durcissent, on a envie que ça s’arrête et pourtant on ne peux pas s’empêcher de continuer dans l’effort. Au bout, la récompense, la rivière fraiche et les truites qui vous attentdent, ensuite, à la nuit tombante, ce sera la grande descente avec le vent qui siffle dans les oreilles, et le bruit bien particulier des roulements qui tournent à toute berzingue dans un bruit bien métalique et pourtant si vivant. La pêche et le vélo, qui ne s’en souvient pas ?