Une fois n'est pas coutume, je n'avais pas d'Avant première à vous présenter en ce début de semaine car, pour ces films du 15 octobre, à part un très beau dessin animé familial dont je vous ai parlé hier, je n'ai vu aucun des longs métrages qui sortent ce mercredi.
Du coup, voici une sélection qui comporte vraiment pour la première fois depuis longtemps les 3 films que j'ai envie de voir sans que les films vus avant viennent se faire remplacer par des longs métrages de subsitution... et pas mal de folklore au programme de mes choix de la semaine, puisqu'entre la samba et l'univers de la musique tzigane, on ne devrait pas s'ennuyer...
- Samba
Le pitch :
Samba, sénégalais en France depuis 10 ans, collectionne les petits boulots ; Alice est une cadre supérieure épuisée par un burn out. Lui essaye par tous les moyens d'obtenir ses papiers, alors qu'elle tente de se reconstruire par le bénévolat dans une association. Pourquoi je veux y aller : - car Samba est forcément un des film le plus attendu de l'année, très attendu au tournant , avec ce retour, trois ans après avoir réuni quelque 20 millions de spectateurs au cinéma, du tandem de réalisateurs Eric Toledano et Olivier Nakache qui dirigent à nouveau leur acteur fétiche Omar Sy; devenu une star internationale depuis; - parce que comme tout le monde ou presque, j'ai envie de voir le nouveau film de ce duo de cinéastes j'aimais déjà énormément avant le triomphe d'Intouchables, en 2012, qui sont parmi les très rares cinéastes français à faire des comédies populaires de grande qualité; - pour le couple Omar Sy-Charlotte Gainsbourg ,couple inédit et inattendu qu'on a hate de voir dans une romance casse gueule sur le papier; - parce que le film est adapté d'un joli livre de Delphine Coulin "Samba pour la France" qui parle des travailleurs clandestins, et qui brosse deux genres que j'aime beaucoup la comédie sociale et une comédie romantique". Bande annonce du film "Samba", réalisé par Eric Toledano et Olivier Nakache (Gaumont). 2. White bird :
Le pitch :
Kat Connors a 17 ans lorsque sa mère disparaît sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité, Kat semble à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Pourquoi je veux y aller : Car cet "Oiseau blanc dans le blizzard", avant d'être un film est un roman, et pas n'importe quel roman, puisque c'est un chef d'oeuvre de la plus grande romancière américaine vivante, Laura Kasischke, dont j'avais dit le plus grand bien à sa sortie en poche, à la fois un suspens psychologique passionnant , ainsi qu'un portrait ébourrifant d'une middle class américaine tellement juste et malaisante en même temps. - parce que 4 ans après le coloré et barré Kaboom, Gregg Araki revient à l’adaptation filmique avec un univers certes moins jovial que le précédent, mais dans lequel on retrouvera certaines thématiques de prédilection du réalisateur aimant une nouvelle se jouer de l’ambiguité sexuelle, des non-dits ou des rapports humains troublants. - parce que ce film devrait être, comme le roman l'était, hantée par la figure emblématique de la mère de l''héroine, et la présence dans ce rôle d'Eva Green est assez intriguant sur le papier. WHITE BIRD - Bande Annonce 3. Geronimo
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