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Peaky Blinders (TV)

Publié le 14 octobre 2014 par Bigreblog

Hello la Bigrosphère!

Je sais, pas beaucoup d’articles ces derniers jours, mais vous devez complètement blâmer mon chat qui a, une fois de plus, chipoté à mon PC et qui a désactivé un truc, bref, WordPress et Tumblr, mes deux outils de travail sur ce blog, ont buggé un peut trop pour que la rédaction d’articles soit possible de façon sereine.

Jeudi dernier, j’ai donc commencé une série de la BBC Two que Tequi herself n’arrêtait pas de me conseiller à grands coups de « C’est génial » et de « Y a Cillian Murphy dedans ». Ces deux appâts étant plus qu’assez pour me faire tenter le coup, je me suis donc jetée sur le premier épisode avec avidité.

Je vous raconte même pas donc que, ce même jeudi soir, quatre des six épisodes de la première saison avaient été engloutis.

Je pense qu’il n’en faut pas plus pour que vous compreniez donc que j’ai surkiffé cette série, et que je suis plus qu’en joie que la saison deux vient de démarrer. ;)

Cliquez donc, c’est spoiler-free!

Peaky Blinders, c’est le nom d’un vrai gang ayant sévi à Birmingham au début du XXe siècle. Ici, dans la série, en 1919, le gang est formé par la famille Shelby, frères, sœur et tante. Sous couverture de book-makers, ils font du recel et profitent de la peur qu’ils inspirent à la ville entière. Winston Churchill, futur Premier Ministre, craint qu’une guerre civile ne soit en route si les Shelby vendent des armes à la fameuse IRA en Irlande du Nord. Il envoie donc un policier irlandais, Campbell, pour démanteler le gang…

Une histoire de gang, vous ne croirez jamais que c’est super vendeur. Sauf que. Sauf que ça l’est, et que quand on regarde Downton Abbey de façon aussi…mordue que je le fais, tout ce qui se passe début du XXe est du pain béni.

Les costumes, l’ambiance, tout est juste parfait. Je vous parle même pas de la BO complètement anachronique mais on s’en fout. (Je suis même tombée raide dingue du thème de la série, complètement allumé, j’adore.)

Mais si je devais citer mon appât principal, ce serait sans doute le casting, parce qu’il rassemble trois des acteurs que j’aime le plus dans ce monde de brutes.

Cillian Murphy d’abord. Si la majorité d’entre vous le reconnaitront en Jonathan Crane dans la saga Batman de Chris Nolan, moi, j’ai commencé à sérieusement me pencher sur son cas dans le film Sunshine, un film où Chris « Captain Collants America » Evans meurt en se noyant dans de l’azote liquide. J’ai adoré ce film, sérieusement. Ici, Cillian incarne Tommy Shelby, le puîné de la fratrie, et le réel boss. Décoré pour sa bravoure durant la guerre, il est néanmoins marqué par son expérience dans les tranchées, et son côté totalement torturé ferait fondre n’importe laquelle d’entre nous. Moi donc. ^^

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Sam Neill ensuite. Monsieur Alan de Jurassic Park incarne le fameux Campbell, issu de Belfast, avec l’accent pourrave qui va avec. Même moi, avec mon oreille pour l’accent écossais, j’ai eu du mal. C’est dire. Et son personnage, quoiqu’insupportable à cause de sa mission, est aussi plus complexe qu’il n’y parait.

Et Helen McCrory enfin. J’adore cette femme. Sa Narcissa Malfoy était juste parfaite et cette femme est d’une telle gentillesse dans la vie que dès qu’elle apparait quelque part désormais, je sautille de plaisir. :) Elle incarne ici la matriarche, Aunt Polly, une forte femme super attachante.

Dans les autres personnages, on retrouve Arthur, le frère aîné complètement à côté de ses pompes, John, le cadet qui sert par à grand-chose, Ada, la soeur rebelle, ou encore Grace, la jolie barmaid irlandaise qui cache bien son jeu.

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All in all, un vrai plaisir que cette série. Si vous êtes pas concquis dès le premier épisode, c’est que vous regardiez ailleurs. :D

Note: 9/10



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