201411
Le jour où j’ai découvert le running
On ne peut pas dire que j’ai une réelle carrière de sportive derrière moi. On ne peut pas dire que je sois sportive, tout court.
Gamine j’ai fait du tennis, et me suis faite virée du club car pas assez bonne. Ca me fatiguait de courir après la balle.
Au collège et lycée, l’EPS n’était vraiment pas mon domaine de prédilection. Bien que la course de haies me plaise bien.
J’ai fait du ski, tranquillement. Faudrait pas que je me colle des courbatures. Un peu de moderne-jazz aussi, mais 1 an, juste pour voir.
Avec ma SEP on m’avait dit de ne pas faire trop de sport violent.
Je me rajoute un handicap supplémentaire, avec des genoux plus ou moins en kit, qui me posent problème depuis l’adolescence. Normalement je n’ai pas vraiment le droit de courir ou de skier, mais je passe outre, et finalement je n’ai même pas mal.
Tout ça pour en venir au fait que, non, je ne suis pas sportive. Enfin je ne l’étais pas.
Car je me suis découvert une véritable passion : la course à pieds, le running quoi !
L’été, avec une copine on faisait des grandes sorties en marche rapide. Et en Avril un marathonien (terme que j’emploie avec beaucoup de respect car c’est pour moi un exploit que de courir un marathon) nous a enseigné quelques principes de base du running, et je me suis vue courir 9 km comme ça, presque sans problème.
Rebelote le lendemain. Par contre, je ne vous cache pas que j’ai été pleine de courbatures le lendemain. Le trajet n’étant pas plat, et plus souvent en montée, tous mes muscles sans exception ont été sollicités.
Bref, j’avais mal, mais je me sentais tellement bien, mentalement et physiquement. Merci les endorphines !
De retour de vacances, je mets en pratique ces bons conseils et je cours régulièrement. Et plus je cours, plus j’ai besoin de courir. Une véritable addiction. Merci encore les endorphine, encore elles.
Et pour courir en toute sécurité, encore faut-il être bien équipé. Je l’ai appris à mes dépends d’ailleurs…
La première chose, la plus importante à mon sens, c’est les chaussures ! J’ai privilégié des chaussures 100% running qui mêlent stabilité et amorti dans une chaussure d’à peine 200g. Pour celles qui me suivent sur Instagram, vous avez donc vu que j’ai craqué sur le sublime modèle de Nike, les Lunar Glide 6. Comme quoi des basket de running peuvent être aussi bien techniques que girly !
Pour le reste, j’ai essayé de trouver des choses bien à faible prix, les baskets ayant pompé tout mon budget. Merci donc les ch’tis d’avoir inventé Décathlon !
J’ai opté pour le corsaire de running Kalenji que je trouve vraiment pas mal et carrément abordable.
Pour la brassière, le dernier point extrêmement important pour nous les filles, il ne faut pas lésiner. Sans pour autant se ruiner il y a des modèles vraiment chouettes chez Décathlon toujours. Moi j’ai choisi un modèle avec les bretelles réglables qui se croisent (ou pas) dans le dos.