Flammarion, 20 août 2014, 192 pages
Résumé de l'éditeur :
A quoi cela a-t-il tenu ? A la solitude d'un jour d'automne, à la tristesse tenace de ces derniers mois, au souvenir inattendu du Jeu de paume où elle se rendait parfois enfant ? Peu de choses, en somme, qui conduisent Laurence T. à pousser la porte de l'exposition consacrée à la photographe Diane Arbus.
Le choc, d'abord esthétique, devient peu à peu existentiel. La narratrice va revisiter son histoire personnelle et familiale à la lumière de celle de Diane Arbus, jumelle soudain découverte.
Leurs histoires se répondent : l'enfance est privilégiée mais recluse, le désir de venir enfin au monde se confond avec celui de créer, les hommes et les enfants sont toujours là, essentiels. En partant à la recherche de Diane Arbus, Laurence T. va se reconnaître elle-même dans le miroir.
Mon avis :
A ma grande honte, je ne connaissais pas Diane Arbus et son travail. J'ai aimé découvrir son enfance, puis sa vie de femme et son travail d'artiste.
L'auteure fait un parrallèle avec sa propre vie et son travail d'écrivain.
En revanche, j'ai moins apprécié les descriptions des rêves de Laurence.
Je m'aperçois, quelques jours après cette lecture, qu'il ne m'en reste pas grand chose.
L'image que je retiendrai :
Celle d'une photo de l'artiste :