Octobre est cette période de l’année où la musique a un rôle primordial : celui de te faire oublier qu’il fait froid, que le ciel est gris, qu’il pleut et qu’accessoirement le coiffeur t’as coupé les cheveux trop courts… (ah non, ça c’est juste pour moi). C’est aussi le moment où les chansons folk sont les bienvenus dans nos oreilles en recherche de douceur. En me promenant sur Facebook, je tombe sur un jeune garçon : Lewis Watson. Moins tête à claque qu’un Ed Sheeran, moins maniéré vocalement que Jake Bugg, le natif d’Oxford se fait déjà remarqué sur YouTube. Avec sa guitare, il fait des reprises, les poste sur la plateforme et s’attire un max de sympathie. Les concerts se multiplient. De 500 personnes, son audience passe à 1500. Ca peut faire flipper. Lui, ça le fait flipper, mais cela veut dire que le talent a trouvé un écho dans les oreilles des mélomanes.
En juillet 2014, il sort son premier vrai album « The Morning » : une collection de 11 pépites folk. La voix est parfaitement maîtrisée, oscille entre aigüe et les graves. La guitare se fait tantôt légère et parfois s’entoure d’instruments supplémentaires pour apporter plus de reliefs aux chansons. On préfère évidemment, les titres quand ils sont dépouillés au maximum. Il suffit de jeter une oreille pour comprendre pourquoi.
Ah, et il a 21 ans.
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