Exemplaire, le cas l’est également pour sa rapidité. 24 heures entre la première “vague médiatique”, TV, radio, journaux dévoilant “l’affaire” et la prise de parole en interne. Or, les spécialistes savent bien qu’une des premières vertus d’une communication de crise est de faire vite. De prendre la parole avant que les rumeurs ne la préemptent, de tenir le terrain, ne serait-ce que pour tenter de protéger le “contrat psychologique” entre le salarié et l’entreprise. L’objectif est alors moins de convaincre, que de faire en sorte que l’entreprise continue d’être reconnue comme une interlocutrice crédible et fiable…
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