Est-il le primordial aveu,
La vérité qui doit être dite,
Ces mots qui ne peuvent demeurer que pensée,
Que l’unique bien d’une profonde solitude,
Que la richesse de l’être intime,
Précieux trésor que retrouvera notre éternité,
Non notre amour doit s’avouer,
Sortir enfin de ses peurs,de ses doutes,
Vivre en tout sourire sa divine liberté.