DEVENIR ADULTE, RESPONSABLE et AUTONOME

Publié le 04 octobre 2014 par Holly

Tellement de défis

De temps en temps nous avons tous un jour sans où il est facile de tomber dans l’auto apitoiement et nous préférons alimenter notre partie victime plutôt que notre partie adulte. Le chemin de la facilité.:) Cependant il est important de rester vigilant et de sortir de cet état de victime aussi vite que possible et de retrouver notre état adulte. Notre survie émotionnelle, physique et mentale en dépendent.

Voler vers la liberté

Que signifie être un adulte ? Je crois que c’est une bonne occasion d’en parler.

  • Être adulte veut dire accepter nos responsabilités, nos choix, nos décisions que nous avons fait dans la vie et les assumer.
  • Être adulte veut dire être rationnel et objectif.
  • Être adulte veut dire de maîtriser nos émotions .
  • Si nous choisissons d’ attribuer notre responsabilité, notre pouvoir personnel à quelque d’autre soit consciemment ou inconsciemment nous NIONS notre partie adulte

    En tant qu’enfant nous ne sommes pas responsable de notre vie.

    Ce sont nos parents qui nous ont élevé, qui ont choisi notre école, notre éducation, qui ont contrôlé la plupart de notre vie d’enfance.

    Lorsque nous devenons l’adulte c’est une bonne occasion de redresser la situation.

    Devenir un adulte suit une évolution

  • C’est l’adulte que nous sommes qui choisit d’assumer, de prendre nos propres responsabilités dans la vie.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui choisit notre métier, notre travail.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui fait preuve de la considération citoyenne.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui paie ses impôts et respect ses responsabilités sociales.
  • C’est l’adulte que nous sommes garde son sang froid face à des situations désagréables.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui choisit nos propres amis.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui choisit, notre époux, épouse, ou partenaire.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui élève nos enfants et leur instruire.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui répond quand un autre adulte lui pose une question ?
  • C’est l’adulte que nous sommes qui choisit nos situations à vivre.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui maîtrise ses pensées. Nous sommes ce que nous pensons. Les limites sont mentales.
  • C’est l’adulte que nous sommes qui assume les décisions mauvaises ou bonnes qu’il a pris..
  • L’habit ne fait pas l’adulte

  • C’est l’adulte mal construit qui cède à l’état de victime facilement.
  • C’est l’adulte mal construit qui choisit de se nourrir des sentiments de peur, de colère, de tristesse…..
  • C’est l’adulte mal construit qui fuit les situations désagréables
  • C’est l’adulte mal construit qui est insincère et qui n’ose pas de dire ce qu’il/elle pense
  • C’est l’adulte mal construit qui nie ses responsabilités
  • C’est l’adulte mal construit qui est à de la difficulté à dire NON
  • C’est l’adulte mal construit qui attribue tous ces problèmes à son entourage, à ses parents, à ses amis
  • C’est l’adulte mal construit qui laisse son entourage le maltraiter.

    Les personnes nous maltraitent parce que nous nous leur permettons de le faire » soit consciemment ou inconsciemment. Notre estime de nous-même est faible!

  • COMMENT LA PEUR POURRAIT RAVAGER UN CORPS

    La peur s’enracine dans la tête, le corps…

    Tout commence dans la tête et de notre évaluation biaisée d’une situation externe.

    La PEUR vient s’installer en nous parce que nous l’avons permise de s’introduire, dans notre corps, nos cellules..nos organes…Les émotions fortes sont comme un parasite qui cherche un hôte auquel il peut s’attacher et ensuite elles se nourrissent aux dépens de nous, de nos turbulences émotionnelles.

    La porte est ouverte

    Pendant un événement traumatisant nous sommes fatigués, faibles, perdus et nous sommes sous le coup de l’émotion. Nos défenses physiques et émotionnelles sont faibles ou absentes. Le déclencheur, l’événement traumatisant est une occasion pour l’émotion forte d’insinuer en nous (la porte d’accès était ouverte)

    Parfois c’est utile d’identifier de nommer l’événement extérieur (le déclencheur), (que ce soit un deuil, un licenciement, la perte d’un enfant) qui a permis la peur d’enraciner en nous.

    Tout compte fait c’est nous qui avons choisi de laisser l’émotion forte (la peur, la colère) de s’emparer de nous, de prendre le dessus.

    Si nous n’arrivons pas à la traiter, à gérer cette émotion forte avec du discernement elle peut déclencher un état dépressif, un état phobique, des crises d’angoisses ou d’autres états de mal être……

    Si nous tombons malade nous pouvons attribuer notre maladie à un pathogène externe comme un virus ou un microbe. Cependant si nous avons un terrain favorable pour ces pathogènes, ou nous étions fatigués, ou nous étions trop exposés au courant d’air froid ou nous avions une carence en vitamines nous sommes en partie responsable de cette maladie.

    La métamorphose est complète.

    En reconnaissant que nous sommes responsables de notre MAL-ÊTRE nous reconnaissons également que nous avez le pouvoir (la force de l’esprit) de guérir. L’une des raisons pour lesquelles la guérison échoue est que l’individu préfère rejeter la responsabilité de son mal-être sur quelqu’un d’autre ou il préfère vivre dans le DÉNI plutôt de faire face à sa RESPONSABLE INDIVIDUELLE.

    {lang: 'fr'}