Tellement de défis
De temps en temps nous avons tous un jour sans où il est facile de tomber dans l’auto apitoiement et nous préférons alimenter notre partie victime plutôt que notre partie adulte. Le chemin de la facilité.:) Cependant il est important de rester vigilant et de sortir de cet état de victime aussi vite que possible et de retrouver notre état adulte. Notre survie émotionnelle, physique et mentale en dépendent.
Voler vers la liberté
Que signifie être un adulte ? Je crois que c’est une bonne occasion d’en parler.
Si nous choisissons d’ attribuer notre responsabilité, notre pouvoir personnel à quelque d’autre soit consciemment ou inconsciemment nous NIONS notre partie adulte
En tant qu’enfant nous ne sommes pas responsable de notre vie.
Ce sont nos parents qui nous ont élevé, qui ont choisi notre école, notre éducation, qui ont contrôlé la plupart de notre vie d’enfance.
Lorsque nous devenons l’adulte c’est une bonne occasion de redresser la situation.
Devenir un adulte suit une évolution
L’habit ne fait pas l’adulte
Les personnes nous maltraitent parce que nous nous leur permettons de le faire » soit consciemment ou inconsciemment. Notre estime de nous-même est faible!
COMMENT LA PEUR POURRAIT RAVAGER UN CORPS
La peur s’enracine dans la tête, le corps…
Tout commence dans la tête et de notre évaluation biaisée d’une situation externe.
La PEUR vient s’installer en nous parce que nous l’avons permise de s’introduire, dans notre corps, nos cellules..nos organes…Les émotions fortes sont comme un parasite qui cherche un hôte auquel il peut s’attacher et ensuite elles se nourrissent aux dépens de nous, de nos turbulences émotionnelles.
La porte est ouverte
Pendant un événement traumatisant nous sommes fatigués, faibles, perdus et nous sommes sous le coup de l’émotion. Nos défenses physiques et émotionnelles sont faibles ou absentes. Le déclencheur, l’événement traumatisant est une occasion pour l’émotion forte d’insinuer en nous (la porte d’accès était ouverte)
Parfois c’est utile d’identifier de nommer l’événement extérieur (le déclencheur), (que ce soit un deuil, un licenciement, la perte d’un enfant) qui a permis la peur d’enraciner en nous.
Tout compte fait c’est nous qui avons choisi de laisser l’émotion forte (la peur, la colère) de s’emparer de nous, de prendre le dessus.
Si nous n’arrivons pas à la traiter, à gérer cette émotion forte avec du discernement elle peut déclencher un état dépressif, un état phobique, des crises d’angoisses ou d’autres états de mal être……
Si nous tombons malade nous pouvons attribuer notre maladie à un pathogène externe comme un virus ou un microbe. Cependant si nous avons un terrain favorable pour ces pathogènes, ou nous étions fatigués, ou nous étions trop exposés au courant d’air froid ou nous avions une carence en vitamines nous sommes en partie responsable de cette maladie.
La métamorphose est complète.
En reconnaissant que nous sommes responsables de notre MAL-ÊTRE nous reconnaissons également que nous avez le pouvoir (la force de l’esprit) de guérir. L’une des raisons pour lesquelles la guérison échoue est que l’individu préfère rejeter la responsabilité de son mal-être sur quelqu’un d’autre ou il préfère vivre dans le DÉNI plutôt de faire face à sa RESPONSABLE INDIVIDUELLE.
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