La France rattrape son retard, et se prépare à la Cyberguerre

Le cyberspace, est une menace qui ne cesse de grandir, l’Etat-major français mise tout sur la sécurité informatique.

A 11 heure du matin, le mercredi 2 octobre. La cellule de cyberdéfense de l’Armée nationale se réunit pour se pencher sur la sécurité, le lieutenant-colonel Philippe évoque « Nous sommes face à une attaque imminente ».

La veille, un groupe de hacktivistes,  dénommé D4TA/CITIZ3NS (sans faire de fautes) a menacé d’attaquer le système d’information de la base aérienne de Solenzara situé en Corse.

Le fabricant de radars Radnovu, également basé sur l’île de Corse, aurait été victime d’un important vol de données classifiées. Peut-être des événements liés, le GIR (Groupes d’Intervention Rapides) ont enquêter sur place et sécuriser les infrastructures global.

La même journée, des hackers cherchent à pénétrer dans le réseaux de l’armée. Plusieurs radars de l’armée aurait était touché et ne fonctionnent plus. Les médias se montrent défaitiste vis-à-vis du ministère de la Défense. La France subit-elle une cyberattaque très importante ? Certainement pas, en fait tout est minutieusement préparer. Un exercice, avec un pays imaginaire en cas de cyberguerre. Tout est fictif: les hackers, les hacktivistes, les médias, les réactions, les pays, les opposants, …

Sept pays répartis sur quatre continents

Un scénario soigneusement élaboré par l’Etat-major des Armées, aidé des prestataires privés voir semi-privés.

Cette simulation à un nom. Defnet, crée en 2014, et inscrit dans le Pacte Défense Cyber du ministre Le Drian, qui veut accroître les capacités de cyberdéfense des armées.

Conclusion:  L’objectif de DEFNET 2014 est multiple. D’une part, dans ses aspects opérationnels, qui sont d’entraîner les joueurs à la gestion de crise cyber et au déploiement de groupe d’intervention rapide (GIR) cyber. Ainsi, DEFNET 2014 marque le début d’un processus de préparation opérationnelle nouveau.