C’est rigolo… Depuis que ce que je raconte sur le blog évolue, je perds des followers mais je gagne des lecteurs. En fait, vous savez quoi, j’en suis super heureuse car je ne fais pas la course aux abonnés IG, FB ou Twitter… la monétisation de mon blog ne m’intéresse que peu. Et donc, ça me fait penser que le contenu pourrait même vous plaire un peu ?
En tous cas, je me sens ragaillardie par ces nouveaux échanges et par vos commentaires. Je ne me vois pas rentrer dans une case bien lisse et y rester. C’est ce que j’ai ressenti devant un film qui m’a terriblement émue et dont j’avais envie de vous parler… "Le Beau Monde"
"Alice, 20 ans, vit à Bayeux. Elle travaille la laine, crée des teintures, confectionne des vêtements. Elle ne sait que faire de ce talent inné, jusqu’à ce qu’elle rencontre Agnès, une riche parisienne, qui l’aide à intégrer une prestigieuse école d’arts appliqués. Alice laisse tout derrière elle pour aller vivre à Paris. Elle y rencontre Antoine, le fils d’Agnès. Entre eux naît une passion amoureuse. Antoine trouve chez Alice une sincérité et une naïveté qui l’extraient d’un milieu bourgeois qu’il rejette. Alice, grâce à Antoine, découvre de l’intérieur un monde qui la fascine, « le beau monde ». Il lui offre sa culture, elle se donne à lui toute entière. Au risque de se perdre…"
Cela m’a rappelé pourquoi je ne voulais plus représenter des créateurs quitte à devoir tout recommencer à zéro dans mon aventure personnelle (tourner le dos à ce milieu, c’est perdre son réseau), pourquoi je veux être au plus près des gens de la vraie vie et pourquoi certaines choses ne sont pas à "vendre". Si vous n’avez pas eu l’occasion de voir ce film, je vous invite à partager ce moment avec une personne qui vous est chère et qui pourra recueillir vos ressentis avec… délicatesse !