- Charlotte, David Foenkinos, Gallimard
- Le royaume, Emmanuel Carrère, P.O.L
- L’amour et les forêts, Eric Reinhardt, Gallimard
- L’île du Point Némo, Jean-Marie Blas de Roblès, Zulma
- Peine perdue, Olivier Adam, Flammarion
- Viva, Patrick Deville, Seuil
- On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt, Lattès
- Le bonheur national brut, François Roux, Albin Michel
- L’écrivain national, Serge Joncour, Flammarion
- Le règne du vivant, Alice Ferney, Actes Sud
Les romans traduits semblent (j'en ai lu moins - trois des dix seulement, contre sept côté français) désignés avec une plus grande pertinence.
- Et rien d’autre, James Salter ; traduit de l’américain par Marc Amfreville, Ed. de l’Olivier
- Le fils, Philipp Meyer ; traduit de l’américain par Sarah Gurcel, Albin Michel
- Price, Steve Tesich ; traduit de l’américain, Monsieur Toussaint Louverture
- Nos disparus, Tim Gautreaux ; traduit de l’américain par Marc Amfreville, Seuil
- L’homme de la montagne, Joyce Maynard ; traduit de l’américain, P. Rey
- Le complexe d’Eden Bellwether, Benjamin Wood ; traduit de l’anglais par Renaud Morin, Zulma
- Prières pour celles qui furent volées, Jennifer Clement ; traduit de l’américain par Patricia Reznikov, Flammarion
- Retour à Little Wing, Nickolas Butler ; traduit de l’américain par Mireille Vignol, Autrement
- Le ravissement des innocents, Taiye Selasi ; traduit de l’anglais par Sylvie Schneiter, Gallimard
- Hérétiques, Leonardo Padura ; traduit de l’espagnol (Cuba) par Elena Zayas, Métailié