A l’ombre du 11 septembre

Vous ne le croirez jamais
Mais il parait que notre président s’est rêvé musulman… radical et pas du tout normal…
Il aurait bien voulu couper la main du paparazzi qui lui a volé son intimité avec une photo qui le montre sur sa moto la nuit où tous les gris-gris sont soit disant permis.
Il aurait bien voulu lapider la femme adultère qui vient de se payer sa tête en le trompant avec toute la planète en disant juste : merci pour ce moment, petite bête
Il aurait bien voulu décapiter tous les apostats qui le prennent pour un tas
Montebourg, Hamon ne sont plus là pour nous dire que ce mec là n’a rien à envier au califat.
Il aimerait bien mais ne sait pas ce que c’est que le bien !

De Dieu, il y a deux amants : celui qui ordonne et celui qui abandonne
Celui qui veut le pouvoir et celui qui ne peut rien vouloir.
Le premier, on le qualifie d’arriéré… le second de modéré.
Deux musulmans : l’indocile et le docile… l’idiot et l’utile… que le monde distingue de plus en plus mal.
Pour l’homme habile, les deux versions sont débiles.
Car l’extrémisme est au cœur des deux, car chacun des deux rêve de devenir Dieu.
Joli paradoxe : le bon est mauvais et le mauvais est bon.
C’est un peu trop compliqué, en effet de toucher à l’Islam sans tout lui contester, son ambigüité, son inévitable radicalité, sa volonté de dominer.
Impossible de les soumettre. Dangereux de les laisser être. Il faut trancher… couper des têtes pour en débarrasser la planète.
C’est la Loi du 11 septembre : assassiner les assassins pour qu’ils n’assassinent plus.
Question : lesquels ? Les fausses victimes ou les vrais bourreaux ?
Parce que trop c’est trop pour le troupeau qui ne supporte plus le bâton du berger mais seulement sa carotte dorée.
Celle qu’ OBAMA veut nous faire avaler en dévoilant son intention d’en finir avec l’Islam et ses lieutenants.
Après avoir instrumentalisé leur montée il va scénariser leur chute, orchestrer leur déclin.
Parce que l’ignorant ignore que le mal radical n’est pas dans l’Islam mais dans l’âme.
La laideur et l’aigreur sont les seuls mobiles de ces excitations collectives. Ce n’est pas Dieu, c’est l’homme qui dit non à l’homme.
Entre OBAMA et le nouveau Califat, je ne vois rien d’autre que deux criminels qui s’incriminent pour avoir belle ou meilleure mine.
Les deux se servent de Dieu, parce qu’ils n’ont plus rien à nous servir… que la guerre pour faire ou se défaire des affaires.