- qu'au lendemain de la prestation de Sarkozy au JT de France 2, quelques jours après la conférence de presse de Hollande, au vu et au lu et à l'entendu des réactions, on peut se demander si ces types ne sont pas fous, non ? Ça s'appelle désormais le bashing, cette pluie de commentaires et/ou attaques que reçoivent les responsables politiques. Je ne dis pas que leur absence de résultats ne justifient pas les critiques, mais on peut s'interroger sur ces faits étranges : l'un veut rester encore et encore, et l'autre revenir. Y'a-t-il un psy dans la salle ? Souffrent-ils de masochisme aigu ? Jouissent-ils d'entendre leur procès en nullité ? Prennent-ils un plaisir rare à être plus que critiqués, vilipendés, voire haïs par des millions de personnes ? Ne feraient-ils pas mieux de s'offrir un fouet, avec les initiales de l'autre gravées, et de se zébrer le dos à tour de rôle ? N'atteindraient-ils pas l'orgasme plus aisément, plutôt que d'attendre les sondages meurtriers ou les unes assassines : Pépère est-il à la hauteur, Le voyou de la République, Le président cannibale, L'incapable. Vous rendrez à qui de droit ce qui est à vomir de tristesse. L'analyse vise à comprendre. Elle établit d'abord des critères permettant d'identifier les composants. Pô pareil que l'âne à Lise devant des cons, posant.
- qu'en mai dernier, invité, non, enjoint, contraint même par la Cour européenne de justice, Google a accepté d'ouvrir en Europe un droit à l'oubli. Les internautes avaient donc, à partir de cette date, le droit de repérer la ou les pages Web qu'ils souhaitaient voir disparaître du moteur de recherche et remplir un formulaire de demande de retrait en précisant l'adresse URL de cette page ou de ces pages. Simple. Mais, pot de fer contre pot de terre, dès le début, Google s'était réservé le droit de rejeter certaines demandes au nom du droit à l'information. Oh, le bouclier passe-partout ! Des milliers de demandes ont atterri sur le bureau de monsieur Google, et mister G, au regard de critères qui restent encore opaques à ce jour, a refusé 72% des demandes. Conclusion, on aurait pu appeler la chose, droit à l'oubli, ou, conscients des difficultés de tout effacer, droit à l'oubli partiel, mais désormais il vaudrait mieux évoquer un droit partiel à l'oubli. L'analyse vise à comprendre. Elle établit d'abord des critères permettant d'identifier les composants. Pô pareil que l'âne à Lise devant des cons, posant.
- que quatre matchs nuls en six rencontres peuvent remettre en cause certaines vérités. Sentez-vous les murs du football français trembler ? Appuyons-nous sur le sport, le sport médiatiquement roi dans notre pays, le sport le plus pratiqué dans l'hexagone, le football, pour réfléchir. Puisque les footballeurs ont réputation de ne pas suffisamment utiliser leur cerveau, servons-nous du nôtre pour cogiter. Le PSG présente des résultats sportifs depuis le début de sa saison qui ne sont pas à la hauteur de son rang présumé, de ses saisons passées, de son budget, de ses ambitions affichées. Plus largement, le meilleur club français supposé ne l'apparait plus, ni dans, ni au-delà de ses frontières. Lorsque le meilleur n'est pas bon, alors que meilleur est censé être le comparatif de supériorité de bon, et que le bon disparaît, il ne peut pas être plus que rien, si bien qu'on en arrive à une absence de valeur, qui égale zéro, qui se réduit à rien, faisant disparaître ceux qui sont en-dessous, car moins que rien ici ne se peut pas. Conclusion, il n'y a plus de football en France. C'est clair, non ? L'analyse vise à comprendre. Elle établit d'abord des critères permettant d'identifier les composants. Pô pareil que l'âne à Lise devant des cons, posant.
mardi 23 septembre 2014