Coucou les Bigronautes!
Je sais, cette review, je vous l’avais promise la semaine dernière. Mais vous commencez à bien me connaitre, la procrastination, c’est ma vocation… Bref, je suis là et bien là cette fois, et donc je suis ready à vous faire cette review de l’épisode que jusqu’ici j’ai préféré cette saison de Dr Who.
En même temps c’était pas difficile: on m’annonçait Ben Miller et Tom Riley au casting, et en plus, ça parlait de Robin Hood… :)
Spoilers attack, mais je pense que ça ne surprendra personne. ^^
Se sentant d’humeur généreuse, Twelve propose à Clara de l’emmener où et quand elle le souhaite avec le TARDIS. Elle lui annonce qu’elle a toujours rêvé de rencontrer le célèbre Robin Hood. Twelve, persuadé que tel personnage n’a jamais existé, met cependant le cap sur la forêt de Sherwood vers 1190. Et quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il voit arriver un archer en tenue verte et au chapeau à plume!
On va être trèèèèès honnête ici, cet épisode est complètement craqué. La faute à son scénariste, probablement (non, pas probablement, juste OF COURSE QUE C’EST DE SA FAUTE!). Ouais, les enfants, mon Mark Gatiss préféré (l’un de mes nombreux pères adoptifs et ce malgré son orientation sexuelle (j’en n’ai rien à battre, les gays aussi peuvent adopter)) a donc scénarisé cet épisode, et c’est presque aussi pire que "The Empty Hearse" dans Sherlock. Presque parce que rien ne peut égaler ce total foutage de gueule. XD
Je pensais franchement que Robot of Sherwood permettrait aux frigides de commencer à apprécier Twelve parce que Capaldi y est juste tor-dant. Dont sa première scène avec Robin, qu’il décide de combattre en duel à l’aide…d’une cuillère… On n’est pourtant pas en territoire burgonde… (pun totally intended)
"I don’t need a sword. I am the Doctor, and this…is my spoon!"
Mais bon, voilà, l’atout principal qui m’a fait attendre cet épisode comme le Messi à la Coupe du Monde, c’était donc Ben Miller. Et même s’il n’était pas aussi présent à l’écran que je l’aurais souhaité, son Sheriff de Nottingham était creepy et…Ben Millesque à souhait. Ouep ouep, j’invente des mots comme ça. :p Ben Miller, c’est un peu l’un de mes nombreux dieux. Je le kiffe depuis Bough dans Johnny English. C’est dire. :D Donc voilà.
Mais malheureusement pour lui (et heureusement pour nos mirettes), Benounet a été supplanté par son nemesis fictif, Robin Hood donc. Tom Riley, celles qui sont connaisseuses le savent, est désormais plus connu pour incarner Leo Da Vinci dans Da Vinci’s Demons. J’ai donc été juste beaucoup trop en joie de le voir se pointer dans Dr Who (il aura donc sa propre petite place dans le prochain Crossover). Il est certes blond à barbe ici, mais tout aussi charmant, même un peu trop… ^^
J’aurais jamais été capable, perso, de quitter une chose pareille, si j’avais été Clara. Mais c’est bien connu, Clara est une conne.
Mais faut lui remettre ça, elle fangirle très bien. ;)
Bon, on est quand même dans Dr Who, donc s’il n’y a pas d’histoire spéc’, c’est pas normal. Ici, des chevaliers-robots qui volent l’or de la région pour réparer leur vaisseau spatial. Si, je vous jure. Pas mal comme histoire, surtout que ça vaut des scènes juste monstrueuses de concours de kiki entre Robin Hood et Twelve.
Je vous le dis tout de suite, je n’avais plus autant ri dans un épisode de Dr Who depuis le retour providentiel de mon Ten d’amour dans l’épisode spécial 50 ans…
Ouais, en gros, ça, c’était moi… XD
Voilà voilà… Je pense avoir fait un tour plus ou moins exhaustif de ce qui m’a éclaté dans cet épisode. En gros, tout. ;)
Le mot de la fin sera pour Twelve, qui, je pense, ne me supporterait pas beaucoup s’il me connaissait… ^^