Or, la semaine qui vient de s'achever, ne m'a pas épargnée.
Non pas, à titre personnel mais de manière bien plus général, il me semble que nos politiques nous prennent, toujours plus, pour des gogos...
Une preuve parmi tant d'autres : L'éclosion de la phobie administrative. Vous voyez évidemment de qui et de quoi je parle et je pense que, vous aussi, ça vous énerve !
Il faut se rendre à l'évidence, notre gouvernement perd la tête. Au moins, on n'aura pas à la lui couper. Quoique...
Pire, il faut croire que nous avons, ici, à faire à L'Hydre de Lerne ! (ndlr : une créature de la mythologie grecque, monstre possédant plusieurs têtes, dont une immortelle. Celles-ci se régénèrent doublement lorsqu'elles sont tranchées, et l'haleine soufflée par les multiples gueules exhale un dangereux poison, même durant le sommeil du monstre.: tuer l'Hydre de Lerne constitue le deuxième des douze travaux d'Héraclès. Ref. Wikipedia),
Gauche-Droite, on nous balade, on nous sonde, on nous compte en pourcentage, on nous flique, aussi à l'occasion, et on attend de nous des voix.
Et, pendant ce temps-là, la marinade jubile dans son jus. Ses mains de mendiante, tendues, prêtes à recueillir les dociles petits électeurs, perdus et désabusés, dans ce marasme politique.
Elle est peut être là, la tête immortelle de l'Hydre de Lerne. Autrement dit, mes chers amis, à nous de devenir des Hercule citoyens, pour tuer la bête et sauver la démocratie.
Sans chemise, sans pantalon, maintenant sans dent... Et bientôt sans-culotte ? Allez, ça ira comme ça !
Ni révolutionnaire, ni activiste de nature, je n'aurais pas l'audace de prétendre avoir une solution ou devenir leader d'un quelconque mouvement.
Mais, j'ai la conviction que l'action de chacun peut faire levier et que ça commence ici et maintenant, en gardant sa liberté de pensée et la curiosité de l'autre et du différent.
La rédaction de Hi-zine.fr, garde donc le cap, avec des actus, des événements et des nouveautés originaux, et toujours, un petit fond de poil à gratter, salutaire.
Que la semaine commence !
Souriez, vous êtes libres et vivants.
Téri Trisolini