Tel est le constat que j'ai pu fair een me rendant à Nantes cet été. Non pas dans la vieille ville, ou du moins pas seulement, comme j'aime à le faire à mon habitude, mais dans l'île de Nantes.
C'est là que trônait, au temps de sa splendeur, l'activité maritime de la ville.
Aujourd'hui, il n'en reste qu'une grue gardée comme symbole d'un passé révolu mais inscrit dans la mémoire des habitants.
En effet, afin d'accroître et de renouveler l'attractivité touristique de la ville, il a été décidé de transformer l'endroit, de conserver les savoir-faire acquis, de les projeter dans l'univers de Jules Verne, et d'en tirer ce manège fantastique peuplé d'étranges créatures marines.
Ou alors, pourquoi ne pas déambuler sur le dos de cet éléphant géant, grande attraction de l'endroit.
Mais ce qui fut autrefois le Quai des Antilles a été réinvesti. Un énorme hangar a été conservé, compartimenté en espaces musées, théâtre, bars et lieux de restauration, faisant de l'endroit the place to be du Nantes by night.
Une attractivité renforcée par les anneaux de Buren (celui qui avait planté ses colonnes au palais-Royal à Paris) qui illuminent les nuits nantaises.