Rassemblé par un institut de sondage (Ipsos pour Paris Première, Médiametrie pour Direct 8 ) le public se comporte alors comme un panel de téléspectateurs qui peut réagir en direct à des questions posées par l’animateur. Ainsi, un réalisateur invité de PifPaf peut se faire une idée en direct de "l’envie du public de regarder ou non son téléfilm", programmé le soir même, ou, un ministre de la culture, de connaître pendant le débat, l’avis des spectateurs sur l’augmentation de la redevance.
Au delà du principe des SMS, qui permet d’agrémenter le direct, de quelques réactions de téléspectateurs sélectionnées, la télé découvre les vertus d’un véritable feed-back en temps réel, qui permet d’inclure dans les débats l’avis de ceux qui les regardent.