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Coming of the Roads

Publié le 13 septembre 2014 par Polyphrene
Now that our mountain is growing
With people hungry for wealthHow come it's you that's a-going And I'm left all alone by myself?
We used to hunt the cool cavernsDeep in our forest of greenThen came the road and the tavern And you found a new love it seems
Once I had you and the wildwood, Now it's just dusty roadsAnd I can't help but blamin' your goingOn the coming, the coming of the roads
Look how they've cut all to pieces Our ancient redwood and oakAnd the hillsides are stained with the greasesThat burned up the heavens with smoke
You used to curse the bold crewmen Who stripped our earth of its oreNow you've changed and you've gone over to themAnd you've learned to love what you hated before
Once I thanked God for my treasure, Now like rust it corrodesAnd I can't help but blamin' your goin'On the coming, the coming of the roads
Once I thanked God for my treasure, Now like rust it corrodesAnd I can't help but blamin' your goin'On the coming, the coming of the roads
And I can't help but blamin' your goin'On the coming, the coming of the roads
Coming of the RoadsCette chanson de Billy Edd Wheeler a d’abord été popularisée par Judy Collins (photo) puis superbement reprise par Peter Paul and Mary. Elle décrit avec amertume les « effets secondaires » de ce que l’on appelle « le progrès », qui bouleverse le cadre de vie, dégrade l’environnement, mais peut aussi altérer les relations sociales et amicales. L’érosion inexorable de l’espace naturel par les activités humaines a atteint un tel stade que les dégâts apparaissent désormais irréversibles. Combien de temps pourrons-nous préserver le peu de nature sauvage qui reste encore sur cette terre ? Combien de temps, ensuite, pourrons-nous en conserver le souvenir ? Que pourront encore voire nos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants ? Que deviendra l’humanité si la nature lui est entièrement assujettie ?ALN
L’Arrivée de la Route
Notre montagne est envahieDe gens en quête de richesseMais toi, pourquoi es-tu parti(e)Me laissant seul(e) dans la détresse ?Nous cherchions les fraîches cavernesAu fond de notre forêtPuis virent la route et la taverneTon nouvel amour, on dirait
J’avais toi et la natureJe n’ai plus que ces routesJe ne peux que blâmer pour ton départL’arrivée, l’arrivée de la route
Regarde comme ils ont détruitNos séquoias les plus vieuxEt les collines sont souillées de cambouisLeur fumée obscurcit les cieux
Tu maudissais ces audacieuxQui pillaient notre sous-solDésormais, tu adores de nouveaux dieuxEt te voilà pris dans leur farandole
Je louais Dieu pour mon trésorQui rouille et me dégoûteJe ne peux que blâmer pour ton départL’arrivée, l’arrivée de la route
Je louais Dieu pour mon trésorQuia rouille et me dégoûteJe ne peux que blâmer pour ton départL’arrivée, l’arrivée de la route
Je ne peux que blâmer pour ton départL’arrivée, l’arrivée de la route

(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

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