Le gouvernement nous assène que ce passage à 41 ans est inéluctable et non négociable et qu'il n'y a pas d'alternative. Tout d'abord, rappelons qu'en 2002, ce passage avait été conditionné à l'amélioration du taux d'emploi chez les séniors. Or, la France reste largement à la traine sur ce dossier. Pas grave, on fait quand même. La seule mesure concrète, c'est que la dispense de recherche d'emploi sera supprimée. Autrement dit, si on n'arrive pas à faire travailler plus nos anciens, évinçons les des statistiques du chômage. Que voilà une belle solution !
Mais revenons aux retraites. Les syndicats ont proposé plusieurs pistes comme, notamment, la taxation des stock-options. La mesure rapporterait 200 millions par an, mais le ministre a écarté cette hypothèse d'un revers de main : pas question de taxer les riches alors qu'il y a tant de pauvres pour ça ! Tant qu'on en est à parler des retraites, rappelons que les parlementaires ont un régime TRES SPECIAL qu'ils ont réformé à la marge pour dire qu'ils contirbuaient à l'effort collectif, mais, ils avaient oublié de nous dire que ces mesurettes ne prendraient effet qu'en 2012 !!! Là encore, les riches et les puissants sauvegardés tandis que les autres trinquent.
Ca se passe comme ça en Sarkoland !
Dominik
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