De qui parle-t-on ? :
DJ Danois, Ancien batteur du groupe d’Electropop, lui aussi Danois, Whomadewho. De nombreux guests l’accompagnent sur cet album, dont notamment la chanteuse Suédoise Nina Kinert.
De quoi parle-t-on ? :
Electro intelligente et mid-tempo, faite pour se délasser plus que pour danser.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
Pas de morceaux pour les dancefloors, en tous les cas dans leur version originale, mais une beatbox répétitive qui provoque le mouvement du buste.
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Ces mélodies vous colleront à la peau comme un chewing-gum sur vos baskets.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Les quatre titres avec Nina K. sont de véritables tubes en puissance.
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Que tout ceci est tranquille et fluide, aucun souci pour le format compressé.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Mélangeant le Trip-hop langoureux de Morcheeba et une Electro digne d’un chill out ou d’une compilation des frères Costes, Tomas Barfod réinvente un genre un peu délaissé de nos jours.
Ces douces mélodies, parfois accompagnées de la voix de sirène de Nina K. ou parfois instrumentales, nous plongent dans un état de bien-être, mais aussi dans une certaine apathie qui supprime toute envie de mouvement tant que tourne cet opus.
L’enchantement merveilleux de Love me suscite aisément l’affection que nous réclame Tomas Barfod et, malgré ses origines nordiques, réchauffe agréablement l’atmosphère qui nous entoure.