Me revoici, en ce joli jour de septembre, pour vous narrer de nouvelles histoires.
Je vous parle rarement de livres, mais j’ai fait une agréable lecture pendant ces quelques jours de vacances qui m’a donné envie de rédiger un petit article.
J’ai envie de vous parler de "La première chose qu’on regarde" de Grégoire Delacourt. Grégoire Delacourt est un publicitaire à la jolie carrière. J’ai rencontré cet homme quelques fois, pour des entretiens d’embauche notamment. Nos chemins se sont croisés dans des agences de publicité aussi, plus souvent qu’il ne l’imagine. Ma rencontre avec cet homme m’avait beaucoup plu, et même si il ne souvient certainement pas de moi, je me souviens bien de lui.
Toujours est-il que je l’ai retrouvé un samedi soir chez Ruquier sur mon écran de télévision et convaincue, j’ai eu envie de lire un de ces livres. Manque de temps, oubli, autres priorités, je n’ai acheté une de ses oeuvres qu’au mois d’août, à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulles, dans un Relai H, une vulgaire version poche peu épaisse, pratique à transporter.
Dès la première page lue sur la plage de Gili Air à Lombok, je n’ai pu me détacher de ce roman qui se lit aussi vite qu’on sirotte un mojito. Je vous fait le pitch :
Un jeune garagiste pas dégueu, qui habite un village paumé de France, a toujours fantasmé sur les poitrines des femmes qu’il trouve sublime. Un jour, Scarlett Johansson frappe à sa porte, tout simplement. Le fantasme masculin à son paroxysme débarque.
Impossible de vous en dire plus sur le livre, sans révéler l’intrigue principale.
C’est une histoire très simple, de gens simples, extrêmement bien écrite. Les sentiments sont tellement justes qu’ils ont failli me tirer une larme plus d’une fois. L’humour subtile et délicat m’a emporté et l’histoire m’a tenu en haleine les 200 pages. J’ai dévoré le roman les pieds dans le sable, oubliant de me tourner pour un bronzage uniforme.
Que c’est agréable de lire des choses pures et délicates, je recommande à tous ce roman exquis sans hésitation. Pour l’anecdote, l’auteur a été en procès contre l’actrice suite à cette publication, Scarlett est vraiment une femme sans coeur (kiss kiss Scarlett), car à aucun moment négligée dans ce roman.
Il me reste à dévorer les 3 autres romans de Grégoire Delacourt, qui a su toucher mon coeur avec ces quelques lignes de douceur. Rien qu’en écrivant cet article, je suis encore en vacances.
Victoire
La première chose qu’on regarde, Grégoire Delacourt. 6,90€
Classé dans:Arts. Pub. Media. Tv. etc. Tagged: avis, critique, grégoire Delacourt, Scarlett Johansson roman