Bref, maintenant je n'ai PLUS le temps. Ni de dormir, ni d'écrire ce blog, ni d'aller gambader dans les montagnes. Le minimum d'entraînement que j'essaie de maintenir n'est pas très concluant, les jambes sont lourdes, le tête est ailleurs, difficile d'avancer, 10km deviennent même un calvaire à tenir.
MAIS... ce n'est que momentané ! Dans un mois, si tout va bien, j'aurai rendu mon manuscrit de thèse et je m'octroierai deux semaines de repos, de montagne, de retour aux sources même car je compte bien profiter de ma Franche-Comté adorée ! Un mois... c'est pas si long un mois ? Ca passe vite un mois non ? Même si le temps est précieux, je suis pressée d'y être, pressée de laisser ma tête au repos et de laisser les jambes aller là où bon leur semblent...