Tête à chapeaux

Oui, sans hésiter j'en ai une (tête à chapeaux)Alors, comme tous ceux qui en ont une, j'ai une jolie collection de chapeaux que j'aime et que j'adore.Entre capelines, feutres et panamas, ma tête balance souvent, même si, comme tout le monde (ou presque), je n'en mets pas souvent. Oui parce qu'on adore l'avoir quand on part de chez soi le matin mais après on ne sait jamais où le poser, quand il faut vraiment l'enlever, quand est-ce qu'on est ridicule ou pas et puis c'est compliqué de faire la bise à quelqu'un avec, sans compter que lorsqu'on l'enlève on a une coiffure à dormir dehors. Tout ça est bien vrai et pourtant je ne peux pas m'empêcher d'en acheter. Surtout que je viens de découvrir une marque qui ne risque pas d'arranger mes affaires : Chapoléone, une toute nouvelle marque qui fait des chapeaux à personnaliser, le tout avec une fabrication artisanale made in France. En plus, je suis complètement fan de leur univers dont le lookbook donne élégamment le ton.


 
C'est bien simple, depuis qu'une amie (merci Adeline, mon banquier te déteste sans même te connaître) m'a parlé de ce site, j'ai dû personnaliser virtuellement une trentaine de chapeaux, tous aussi beaux les uns que les autres. Il y a 7 formes possibles, certaines mixtes, d'autres unisexes et dans tous les cas, les modèles sont extrêment réussis : Clovis, Gabin, Henri, Charles, Germaine, Louise et André. 

Et après comment ça marche ?Oui enfin, "et après", c'est vite dit, parce que personnellement, je n'arrive toujours pas à me décider entre Clovis, Gabin et Henri.En gros vous choisissez la couleur, la couleur du ruban, votre taille et le tour est joué et votre chapeau est prêt !

Et comme je n'ai toujours pas tranché, j'ai décidé de vous montrer tous les essais que j'ai fait sur le site. Surtout, si vous avez un avis et 2 minutes à perdre de votre temps, n'hésitez pas à me dire celui que vous préférez dans les commentaires, je suis preneuse !
On commence avec mes 4 déclinaisons de Clovis :

On continue avec mes 4 combinaisons de Gabin :

Et on finit avec Henri :

Verdict ?