
Bon, si les choses s’étaient passées ainsi, je ne vous aurais pas raconté ça dans mon blog, vous auriez dû acheter le journal auquel j’aurais vendu mon exclusivité au prix fort, après avoir fait monter les enchères.
D’ailleurs, C., quand je l’ai retrouvé hier en fin de matinée, les yeux las et le visage chiffonné après son vol de nuit, n’avait pas l’air de savoir que V.T. était dans le même avion que lui.