Je retiendrai seulement des têtes, positivement au crédit des gouvernances des deux Présidents socialistes. Celles qui ne furent plus coupées grâce à la loi Badinter sous le règne de Mitterrand, celle du grand Chef Ataï assassiné par notre colonisation, venant d’être enfin et laborieusement restituée cette semaine à son peuple de Nouvelle-Calédonie sous celui de Hollande.
Restent les nôtres, enfin, ce qu’il en reste, après cette ultime affaire qui s’ajoute aux doutes légitimement existentiels du peuple français qui se débat depuis des années dans la crise à laquelle s’ajoute donc le mépris présidentiel, celui aussi de cette classe politico-élitiste, ces hautes castes nous ignorant avec superbe, nous marchant sur la tête au quotidien.
Restent les nôtres disais-je ? Du presque fromage de tête à l’heure actuelle. Mais, à force de tirer sur la corde du peuple français, qui sait si toute cette intelligentsia arriviste, ploutocrate, dirigeante et méprisante n’aura pas la gueule de bois un jour prochain ?