Un journaliste veut lancer un nouveau média électronique. Il demande à sa cible, des professionnels, ce qu'elle veut. Un magazine papier ! Elle n'en peut plus de l'électronique. Elle est bombardée de choses qu'elle ne lit pas.
Et je suis comme ces gens. Par exemple, 2 de mes anciennes écoles ont un magazine électronique, je ne lis pas. Idem pour leurs mails, que je reçois plusieurs fois par jour, et qui partent en spam.
Je passe une partie de ma vie sur un ordinateur. Ordinateur = stress, fatigue. Papier = détente. Cambridge m'envoie une belle revue, trois fois par an. Je la lis de bout en bout. (Comme je le faisais, hier, du 4 page merdique de l'association Insead France.) Et je fais ce qu'attend Cambridge de sa publicité : de la publicité à ce que j'y lis. Parce que ce que je lis m'intéresse. J'ai même envisagé un partenariat avec un de ses laboratoires.