Allons-y carrément : ce film est une merveille ! Je voulais le voir depuis un long moment déjà, et autant dire que le résultat était à la hauteur de mes attentes, voire même au-delà. Par où commencer ? Tout d’abord par le scénario, avec une histoire finement ciselée, façon poupées russes, où tout s’emboîte parfaitement. Avec ce film on assiste à une petite histoire, avec Gustave, dernier représentant d’un monde sur le point de s’éteindre, qui se retrouve pris dans une intrigue rocambolesque, sur un fond de grande Histoire, au moment où l’avenir de l’Europe bascule avec la montée du nazisme. Pourtant on aurait tort de croire que le film n’est que drame du début à la fin ! Tout cette ambiance est savamment distillée avec des pointes d’humour et une esthétique délicate qui parfois semble tout droit sortie d’un livre d’images. Les personnages, quant à eux, sont vraiment attachants. Il faut dire aussi que le casting est de qualité (avec deux français dans le lot !): Adrian Brody, Jude Law, Edward Norton entre autres, et, comment l’oublier, Ralph Fiennes, véritable maître de cérémonie, et qui nous offre une superbe performance. J’ai toujours adoré cet acteur, et ce film confirme largement mon opinion !
The Grand Hotel Budapest a tout pour plaire en ce qui me concerne, et pour peu qu’on en apprécie l’esthétique assez particulière. C’est aussi ma première rencontre avec l’oeuvre de Wes Anderson, et c’est une expérience plutôt positive !
See Ya !
Andey Z.