Un roman merveilleusement documenté. On imagine la somme de travail, de recherche qu’a dû mener Annie Abriel. Mais pour nous lecteur, ça en valait la peine. Ce qui m’a accroché dans ce roman, c’est le personnage de Constance Mayer duquel je me sens très proche. Elle reste dans l’histoire la 1ère héroïne romantique du XIXème siècle, image renforcée par son suicide particulièrement violent. Epuisée par la déception, l’insomnie, l’angoisse, le rejet de son compagnon, elle mit fin à ses jours en se tranchant la gorge. C’est une destinée tragique qu’eût Constance, femme de toutes les passions qui a donné son amour et sa vie pleinement. Prud’hon n’a su répondre à la hauteur de cet amour.
Voici une interview de Annie Abriel à propos de son roman et de son contexte historique.
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Annie et l'Eléphant de la Bastille par ABSENTES
Litterature
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