Après plus de deux ans d’attente pour des raisons professionnelles, l’auteur Jean-Louis Riguet publiera aux Éditions Dédicaces – dès le mois de novembre prochain – son nouveau roman intitulé : "La vie en archives d’un petit gars". Jean-Louis Riguet est né en 1947, dans la Vienne (France). Notaire démissionnaire à Orléans, autodidacte, il a fait carrière, depuis l’âge de 15 ans, pendant plus de 52 ans dans le Notariat, de la Vienne jusqu’à Orléans, en passant par l’Eure-et-Loir et Paris, avant de se consacrer à l’écriture. Il est membre de la Société des Gens de Lettres, du Bottin International des Professionnels du Livre et la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature. Il a publié chez le même éditeur les deux romans historiques : "Augustin, ma Bataille de Loigny" et "Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918)".
La vie en archives d’un petit gars
Anonyme, un petit gars naît dans une campagne poitevine, d’une famille modeste, artisane jamais dans le même métier. Mis au travail dès l’âge de 15 ans 1/2, il entre en notariat comme on entre en religion. Il travaille à plein temps, dans sa ville natale, tout en suivant parallèlement des cours par correspondance. Ses parents ayant adopté une nouvelle région, plus au nord, il les suit deux ans plus tard, dans une ville voisine, où il continue son activité, travaille en sus de son travail officiel pour un conseil juridique et fiscal, passe l’examen de premier clerc, se marie trop jeune et divorce à la suite. Pendant cette période, il connait un patron d’une stature hors du commun.
Transmuté à Paris, il côtoie un autre grand personnage du notariat parisien. Il gravit les échelons pour terminer numéro 4 d’une étude de 35 personnes, réussit avec succès l’examen de notaire, le plus jeune de sa promotion. Un nouveau mariage, avec une femme d’une générosité inouïe, avec une culture intéressante et un métier formidable, l’enrichit par la naissance de deux beaux enfants. Il a la chance de rencontrer des personnages hors du commun (Franck Alamo, Brigitte Bardot, Guy Bedos, Sœur Emmanuelle, Jean et Brigitte Massin,) ou des situations particulières (succession des descendants de la grande famille de Noailles, renouveau du Paradis Latin,).
Puis il quitte cette belle profession pour endosser l’habit de conseil juridique à titre libéral. Parti plus tard dans une province, un peu plus au sud de Paris, il s’associe avec un notaire qui prend sa retraite quelques années plus tard. Resté seul aux commandes, il exerce des fonctions au sein même des instances professionnelles. Il s’associe de nouveau avec une associée. Il forme plusieurs stagiaires, certains devenus notaires par la suite. Enfin, il quittera ses fonctions par un simple arrêté de démission du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, redevenant ainsi anonyme.
Classé dans:Nouvelles parutions