Ah, j’ai été heu-reuse de retrouver Fin et les paysage insulaires de l’île de Lewis et je suis sortie enchantée de ma lecture, parce que ce deuxième opus de la trilogie de Peter May est tout aussi génial que le premier.
Construit comme L’île des chasseurs d’oiseaux, si ce n’est que les retours dans le passé concernent les souvenirs de Tormod et non ceux de Fin, ce roman mêle très habilement l’Histoire de l’Ecosse et de ses îles, ses paysages de fin de monde et sa rudesse à la personnalité fascinante de Fin Macleod, ses doutes et sa souffrance.
Lecture vivement recommandée !
Le billet du premier volume : ici.
MAY Peter, L’homme de Lewis, Actes Sud, 2013