Cela n'aura échappé à personne, Valls n'a qu'une ambition en tête : la présidence de la république ; tous ses choix, toutes ses allégeances, tous ses discours le confirment.
Et même si les Présidents d'aujourd'hui ne sont que les maîtres-esclaves d'une mondialisation qui a la prétention de se passer du consentement des Peuples, qu'il soit ici permis d'adresser à cette grenouille qui veut se faire plus grosse que le boeuf, le message suivant :
"Valls, tu peux lécher le c.. des patrons, petits et grands, celui de la finance international aussi, celui de la commission européenne, celui des Américains, des gouvernements israéliens et ici en France, de leur porte-parole qu'est le CRIF... jusqu'à humilier les salariés (chômeurs ou pas) qui ont fait la gauche et le PS ainsi que violer notre tradition humaniste et diplomatique qui a fait notre rayonnement et notre force - une tradition qui avait pour objectif la recherche d'un équilibre face à des pays et des cultures hégémoniques à la soif excessive de domination -, jamais dans ma France à moi, tu ne seras Président, ou bien, ailleurs, loin, très loin... (Président des antipodes ?) ni aujourd'hui, ni demain... et certainement pas sous les couleurs d'un parti de gauche de gouvernement ! Ne te fais aucune illusion à ce sujet ! On fera en sorte que jamais cela n'arrive ! "
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Continuer de porter la crise au coeur du PS
Hollande au plus bas dans les sondages, Valls aussi... défaites électorales consécutives pour le PS... il faut continuer d'ouvrir une crise majeure et un nouveau front : obtenir le départ de François Hollande ainsi que la dissolution du PS en attendant la refonte d'une véritable gauche de gouvernement à l'échelle de la France et de l'Europe.
Un François Hollande qui a mené une campagne sur un programme envers lequel il ne se sentait aucune obligation de mise en œuvre, roulant dans la farine du mensonge et de la démagogie des millions d'électeurs, et de penser aujourd’hui qu’il peut en toute impunité échapper à une sanction à la fois morale et électorale dans le contexte d'une Europe qui sera dans le meilleur des cas une succursale de l’hyper-puissance étasunienne (crise économique, crise financière, suprématie militaire et politique du chaos) , et dans le pire, la victime collatérale d’une mondialisation qui n'est qu'une guerre contre les salaires, les droits sociaux et la démocratie...
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