Renaissance #6:
Annie Haslam: chant
John Tout: claviers
Jon Camp: chant, basse
Terence Sullivan: batterie
Michael Dunford: guitare
En 1978, Renaissance décide de coller un peu plus à son époque en modernisant et dynamiser leur son tout en gardant l'âme des oeuvres passées.
Cette évolution les amènera au succès de l'album "A Song For All Seasons" (#35 UK-#58 US), publié en mars 1978 et produit par David Hentschell.
Opening out (J.Camp-M.Dunford)
Day of the dreamer (J.Camp-M.Dunford)
Closer than yesterday (J.Camp-M.Dunford)
Kindness at the end (Jon Camp)
Back home once again (J.Camp-M.Dunford)
She is love (M.Dunford-B.Thatcher)
Northern lights (M.Dunford-B.Thatcher)
A song for all seasons (Tout-Camp-Sullivan-Dunford-Thatcher)
Un superbe album, vibrant, énergique, magique comme on les aime, avec le grand retour des guitares électriques pour la première fois depuis cinq ans.
Renaissance semble... renaître avec un nouveau chef d'oeuvre qui cette fois-ci, triomphe en Europe comme aux Etats-Unis.
Au Royaume-Uni, ce sera leur album le plus populaire, grâce surtout à leur seul hit "Northern lights" (#10 UK), qui a dû donner des idées à Mike Oldfield.
Un tube européen, un album qui se vend fort bien des deux côtés de l'Atlantique, des concerts sold-out, Renaissance semble prêt à atteindre le niveau superstar qu'ont acquis depuis longtemps des groupes proposant une musique aussi complexe qu'eux, comme Yes, ELP, Genesis ou Jethro Tull.
Or le groupe va connaître une chute de popularité impressionante dans les années à venir et après le départ de certains de ses membres, un virage à 90° vers une new wave électronique va définitivement dérouter ses fans et condamner un groupe pourtant brillant...
© Pascal Schlaefli
A Song For Urba City
28 Août 2014
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