27 août Cul bas Baiser pour ne rien dire, l'idée est excellente. Baiser pour baiser, baiser sans penser à rien d'autre que de bouffer le cul d'une inconnue nue. C'est cru ? Non, c'est bon ! Baiser à couilles rabattues jambes bras seins mêlés, tête à cul. Et puis souffler fermer les yeux et penser à la mer. Et puis recommencer caresser mordre griffer le cœur s'affole la tempête se lève une nouvelle fois et c'est encore meilleur, suer, mélanger les sueurs et sentir les parfums interdits. Orgasme, maître mot, coït simultané cœur et poumons mis à mal, petite mort. Et puis souffler fermer les yeux et penser à la mer. Puis baiser tendre, caresser la peau qui devient soie à cet endroit, lécher le sel de la mer, sucer, oui sucer le bonbon gonflé de sève tandis que les mains dansent, tandis que les mains batifolent sur le corps offert, abandonné, décarapaçonné. Ouvert. Et puis attendre les yeux clos et les autres sens en éveil le petit matin blafard. Et se lever enfin, sans se laver, pour aller chercher des croissants. Je vous avais prévenu Le mois d'août est torride
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